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1 avril 2011

La vie est un combat, accepte-le.

 Phrase lue tout à l'heure, en passant chez Keep moving forward, à la fin de ce billet ; et elle m'a inspirée...

 

J’ai mis une énergie folle, depuis toujours, à refuser cet état de fait. A refuser tout combat, tout affrontement même.

Et, paradoxalement, à me mettre en colère, souvent, si souvent.

 Depuis presque aussi longtemps, je cherche des réponses ; savoir pourquoi j’ai souvent si mal, au cœur pendant longtemps et, depuis quelques années, à tout le corps, à tous ces tendons, toutes ces articulations… autant de brûlures si vives et insupportables, certains jours. Qui m’handicapent de plus en plus, et je n’emploie pas ce mot à la légère.

Attention, je ne me plains pas, je ne m’apitoie pas sur moi-même ; j’ai eu une vie très privilégiée à beaucoup d’égards mais cela n’empêche pas la souffrance. D’autant moins quand on cherche à la nier.

 Il y a 3 ans, le 18 mars 2008, je suis devenue mère et, forcément, ma vision du monde a changé. J’avais 43 ans, et ce n’est pas anodin.

Tout n’a pas forcément été simple, et ça ne l’est toujours pas.

J’ai eu un passage dépressif pas très intense mais d’autant plus douloureux que j’avais espéré y échapper, que j’avais essayé de l’anticiper… Quelle blague !

Je mène la vie d’une jeune femme, j’ai rencontré l’homme de ma vie il y 6 ans seulement et nous sommes de jeunes parents. Mais je ne suis plus une jeune femme.

J’ai déjà plusieurs parcours professionnels derrière moi et j’en ai entamé un nouveau, depuis  presque deux ans, en m’installant à mon compte pour aider les petites entreprises dans leur gestion et la conduite de leur activité. Et là, je suis une femme d’expérience, dans un cabinet je serais « consultant sénior » !

 Et tout cela s’entrechoque dans ma tête et dans mon cœur.

 Ce cœur si plein d’amour pour mon enfant et si anxieux qu’elle soit, sinon heureuse (je ne peux pas construire son bonheur), à tout le moins « armée » pour faire face à la vie !

 Et voilà, je veux armer ma fille, je ne veux pas qu’elle rate ce combat. Mais comment faire pour qu’il ne lui soit pas trop pesant, pour qu’elle se batte dans la joie et l’espoir… autant que faire se peut !

 

Voilà un billet bien décousu, merci à toutes celles qui seront arrivées jusqu’au bout :-)

Et merci Agathe !


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Commentaires
B
je lis ton post quelques minutes justement après une dispute qui m'a fait me rendre compte de tous mes échecs... il est parfois difficile de voir le bonheur qui nous entoure mais il ne faut pas s'en vouloir... chacun a ses soucis, et puis, on rebondit, toujours et encore !
C
quand ça ne va pas ...il faut se focaliser sur les petits bonheurs...la chance que l'on a ...d'avoir un enfant...un travail...allez...il fait beau ;) gros bisous
C
avec respect j'ai lu votre post sur la douleur , qui envahit mon corps aussi depuis tant d'années , de brulures , picotementss etc .... <br /> mais je l'apprivoise autant que possible ,ma fille grande déja ,m'a toujours comprise et aidé car je me battais pr elle, activités , ballades ,la mer ,voyages . la vie est une lutte certes ,mais belle aussi , la nature ,animaux les messages passent ...sourions a la vie <br /> amitiés
A
ça me fait penser à une crise de milieu de vie<br /> ce qui est une bonne nouvelle puisque ça touche tout le monde<br /> et que quand c'est bien "réfléchi", ça passe et ça rend les choses plus claires...<br /> :-)<br /> pour les douleurs :-(
B
Parfois, il faut accepter la vie telle qu'elle est...elle n'est ni rose, ni noire, ni blanche mais de toutes les couleurs que l'on veut bien lui donner. J'ai décidé que la mienne serait dans les tons de bleus, comme un beau ciel bleu, comme une belle vague sur le sable!!! Parfois le ciel et la mer s'assombrissent mais après la pluie, LE SOLEIL!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!<br /> Plein de bises!!!!!
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